Mot du Fondateur
Ces dernières années, le secteur des télécoms a connu des mutations nombreuses et profondes : nouveaux modèles économiques, nouveaux acteurs, innovations technologiques, nouvelles habitudes des consommateurs et des entreprises…, en parallèle, la plupart des marchés réglementés sont devenus non seulement concurrentiels mais ont conduit à la démonopolisation du secteur des télécommunications et en particulier des réseaux de radiocommunication avec les mobiles
partout dans le monde, a fait naître plusieurs opérateurs GSM, favorisant une concurrence à la fois ouverte et serrée, dans le souci d’attirer le maximum de consommateurs. Cette concurrence est telle que le client recherche le (s) meilleur(s) service(s) au(x) meilleur(s) prix. Qui dit meilleur service, dit aussi « qualité de service » et cette dernière fortement défendue dans les recommandations de l’UIT (Union Internationale des Télécommunications) détermine la satisfaction et le choix réel du client vis-à-vis d’un opérateur.
Cependant, rares sont les secteurs d’activité qui ont évolué avec une telle ampleur en un laps de temps aussi réduit. Les stratégies ont été redéfinies, les organisations adaptées, les approches commerciales revisitées. Pour conduire ces changements, de nouveaux métiers sont apparus, les écoles et les formations dédiées se sont multipliées, et les organisations professionnelles se sont structurées. Tous ceux–ci a donné naissance à l’établissement de nouvelles relations professionnelles entre opérateurs et constructeurs, obligeant ces derniers à faire évoluer leur offre, s’orientant de plus en plus vers la vente de solutions intégrées et complètes plutôt que celle de parties strictes d’équipement (vente de « boîtes »).
Ainsi, au-delà de la conception et de la fabrication de matériel, les constructeurs se voient de plus en plus confier par les opérateurs des missions de service à plus forte valeur ajoutée que la construction de matériel, comme le déploiement du réseau, la maintenance du réseau, le contrôle du trafic et la gestion opérationnelle du réseau, ou l’ingénierie et la conception de l’évolution du réseau avec une seule obligation celle d’une meilleure satisfaction de la demande client à des coûts et des prix plus bas.
Cependant, l’arrivée de la clé 3G dans un premier temps et des téléphones mobiles Smartphones par la suite, on constate qu’un téléphone mobile sur trois vendu dans le monde est un Smartphone. L’explosion des ventes de ces nouveaux téléphones portables doit beaucoup à l’énorme succès de « l’iPhone » d’Apple et l’arrivée en force des tablettes (ardoises numériques) de sorte qu’on prévoit 20 milliards d’applications téléchargées par an en 2014 contre 2,3 milliards en 2009. L’évolution technologique de ces dernières années, est suivie par une évolution importante des habitudes de consommation des utilisateurs de la téléphonie mobile. Ces derniers consomment chaque jour de plus en plus de bande passante et ont besoin de pouvoir communiquer depuis n’ importe où. Pour faire face à ces besoins grandissant, les technologies actuelles, 3G et 3,5G / 3G+ (UMTS, HSDPA, HSPA, HSPA+), ne vont bientôt plus suffire, notamment dans les grandes villes ou la densité d’utilisateurs est de plus en plus importante. D’où la nécessité de déploiement de nouveaux réseaux radio de 3ième et 4ième générations.
Soucieux de résorber la fracture numérique et rappelant que ce chantier représentait une somme de 25 milliards d’euros sur une quinzaine d’années, Eric Besson a prévenu que l’Etat sera « vigilant au respect de ces engagements ».
Soucieux de résorber la fracture numérique et rappelant que ce chantier représentait une somme de 25 milliards d’euros sur une quinzaine d’années, et afin d’atteindre une couverture en fibre optique de 100 % de la population d’ici 2025, le gouvernement s’engage à investir des fonds provenant du grand emprunt. Ces fonds seront ventilés entre les opérateurs privés et les collectivités locales. C’est pourquoi en 2013, la plus part des opérateurs ont démarré le déploiement des réseaux de 4ième génération : 3.9G (LTE) dans un premier temps puis 4G (LTE Advanced) dans un second temps. Outre des bandes passantes disponibles plus importantes, de 30 à 100 Mbit/s, ces technologies proposent également des avantages supplémentaires : augmentation du nombre d’utilisateurs simultanés par antenne, meilleure stabilité de la connexion en mobilité à grande vitesse.
L’augmentation de la couverture 3G et le déploiement de la technologie 4G deviennent une nécessité pour répondre à la demande incessante des consommateurs en communication à très haut débit.
Cependant, pour permettre aux antennes de délivrer les bandes passantes de la 3G et la 4G (transmission à haut débit de signaux large bande de faible puissance) et pour garantir une qualité de service importante pour les utilisateurs finaux, la fibre optique est et sera le support privilégié de raccordement des antennes via des architectures de type F.T.T.H (de l’anglais fiber to the home qui signifie littéralement en français : fibre optique jusqu’au domicile). Problème, son installation coûte cher. Il existe pourtant une alternative moins onéreuse : des architecture de type F.T.T.A (Fiber Through The Air, en Français la fibre à travers les airs) lorsque la transmission est assurée par la Radio (hyperfréquence). La F.T.T.A “fibre à travers les airs” constitue une solution à prix attractifs, dont développement en zones rurales et industrielles est plus aisé, pourrait changer la donne en matière de très haut débit.
Enfin, pour la modernisation des réseaux 2G existants et la mise en place de nouveaux réseaux radio de 3ième et 4ième générations, les opérateurs, les constructeurs d’équipements des réseaux mobiles, mais également les sociétés de Télécoms qui fournissent des services à valeur ajoutée se trouvent encore et toujours face à des défis technologiques de grande envergure. Ils sont à la recherche de techniciens, d’ingénieurs et d’experts maîtrisant les aspects d’ingénierie systèmes et réseaux radio et transmission numérique ayant de solides connaissances des contraintes liées aux interfaces radio (réseaux sans fil) capable d’assurer régulièrement le développement, le déploiement, l’extension, l’exploitation, la modernisation, la recette, l’optimisation, la maintenance et la sécurité des installations des sites et des réseaux, de les auditer régulièrement, les mettre à niveau, les rendre plus performants et surtout veiller à la convergence des technologies et des équipements malgré leur diversité d’évolution, tout en garantissant leur pérennité et leur qualité de service.
Ce sont précisément ces objectifs que vise SirtCom, en tant que Société de Services d’Ingénierie de Télécoms et de Formation Professionnelle (SSITFP). Sa stratégie est de répondre aux besoins actuels et futurs de l’ensemble des acteurs du marché de télécoms, qu’ils soient opérateurs, équipementiers, intégrateurs et médias, en les accompagnant sur les projets majeurs de conception, de réalisation, d’audit, d’évolution de leurs réseaux de radiocommunications et de télécommunications, de management de projets et de formation professionnelle qualifiante et continue. Sirtcom a défini sa stratégie en tenant compte de cette nouvelle exigence celle de l’obligation à fournir à ses clients : des prestations de services de qualité à des couts et à des prix plus compétitifs.